(Article écrit en septembre)
Écrire au stylo-plume, au crayon de papier, au stylo bille, en bleu, en noir, qu’importe, pourvu qu’on écrive !
Il y a pourtant dans le domaine éducatif et dans la société en général, une sorte de convention, plus ou moins officielle, sur les couleurs.
Le bleu effaçable comme couleur de référence (ou « par défaut », comme dans un ordinateur) ; le vert pour l’autocorrection, le rouge pour les professeurs et pour souligner, mettre en valeur. Le noir est toléré comme couleur de référence car c’est celle des ordinateurs et des papiers officiels.
Pourtant, ma grand-mère n’a-t-elle pas apprit à écrire à l’encre violette ?
Cela atteste bien que les goûts des couleurs sont plus une affaire de mode et d’époque que l’application d’une convention unique et sérieuse.